Affiliation à portée de clic
100 €, c’est rien… En même temps, c’est beaucoup. Parce que lorsqu’on vit ce moment pour la première fois, on réalise que nos liens d’affiliation commencent à générer de l’argent.
Remporter 100 euros en 1 mois, c’est atteindre un palier psychologique essentiel.
Un blog pro a normalement pour but, de soutenir un business en ligne, de façon à générer des revenus. Par exemple, avec la vente de formations.
On peut d’ailleurs très bien réaliser un chiffre d’affaire honorable, à l’aide d’une petite audience.
Or, l’affiliation désigne au contraire un modèle économique, dont les gains financiers dépendent en premier lieu du nombre de visiteurs.
À moins de s’associer avec un partenaire généreux en terme de commission, il faut absolument bénéficier d’un trafic notable. Ceci, afin de pouvoir recueillir une part significative des ventes réalisées via l’affiliation Amazon.
Techniquement, Si l’on suppose que le pourcentage de commission s’établit à 5 %, il faudrait réaliser 2000 euros de ventes pour obtenir 100 euros de gains. Ça donne une idée du trafic que l’on doit produire, si l’on veut obtenir un revenu viable.
Les commissions varient en fonction des boutiques partenaires, mais peuvent également changer selon la catégorie de produit et de la nature du clic. Chez Amazon par exemple, vous verrez que cette dernière constitue un élément fondamental dans le calcul.
Lorsque je constate qu’un de mes produits affiliés génère 100 euros de gains en 1 mois, je planifie une stratégie pour conserver ce rythme financier.
Je regarde notamment quels sont les leviers qui m’ont permis d’accéder à ce premier palier. Mon but sera alors d’optimiser différents moyens à ma disposition.
Eh oui… Il s’agit de l’objectif suivant. On va donc chercher à connaître son positionnement sur les SERPs.
Si l’on génère 100 euros, c’est bien parce que une ou plusieurs pages du site web bénéficient d’un emplacement intéressant.
Le but consistera alors à améliorer le rang de ses mots-clés. Comment ?
1. En établissant une refonte des articles déjà existants sur le thème.
Oui… Il est toujours possible de voir si l’on doit modifier certaines parties de son contenu. Au niveau du fond déjà. Avez-vous par exemple cerné le sujet de votre article dans sa globalité ? Ayez toujours en tête de mieux faire que vos concurrents.
Au niveau lexical : avez-vous enrichi votre texte ? Google prend forcément en compte la profondeur des expressions, des phrases, de la syntaxe… Au niveau de la forme : la mise en page est à l’affiliation ce que les frites sont au big mac. Si votre article présente une mauvaise organisation, vous allez faire fuir le prospect, les clics, et donc les gains qui vont avec.
Votre taux de rebond va augmenter, ce qui peut théoriquement entrainer à terme une dégringolade au classement. Travailler la structure de vos pages en établissant un plan que vous allez appliquer sur l’ensemble de votre site.
2. En multipliant les articles concernant une même thématique. Car c’est en publiant de plus en plus sur un même sujet que l’on donne de la profondeur à son site. Google peut alors considérer que celui-ci présente une pertinence par rapport à certains mots-clés.
3. En travaillant sur la popularité de sa marque et sur sa navigabilité : liens externes, maillage interne, vitesse de chargement… Il y a tant de paramètres à contrôler, qu’il est nécessaire d’aborder ce volet avec beaucoup de sérieux.
Vous avez compris que 100 ou 500 euros, représentent des lignes symboliques, avec lesquelles je m’amuse à discuter. Parce que c’est stimulant d’atteindre ces niveaux la première fois … L’idée étant tout de même de faire un maximum d’argent dans tous les cas.
Blog (consulter les articles sur artuseo)
Les 10 étapes d’une refonte de site web (sur Inboundvalu.com le blog de Marc Sauvage)
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