On peut traduire benchmarking par repère, norme, point de comparaison, évaluation notamment.
Le benchmarking désigne finalement l’idée d’analyser un système et d’en tirer profit, afin de créer le sien ou de l’améliorer. On pourrait d’ailleurs appliquer le concept dans tous les domaines de la vie.
C’est faire preuve d’inventivité lorsqu’on emploie une telle méthode. Dans la mesure où celle-ci consiste à développer de nouvelles idées, on explore d’autres pistes et on s’en inspire.
On limite souvent le benchmarking aux activités marketing d’internet. Si l’on prend quelques secondes de réflexion, force est de constater que celui-ci dépasse de très loin l’horizon du web. Le benchmarking fait en réalité la part belle à la connaissance et à l’innovation.
Elon Musk partit du même principe. Il créa la Tesla grâce aux applications déjà existantes. L’obstacle résidait dans le temps de charge qui – d’après les ingénieurs de son entreprise – se révélait insuffisant.
Une voiture capable de tenir sur une aussi longue durée ne pourrait pas voir le jour, selon eux. S’engager dans une entreprise aussi exigeante, serait donc voué à l’échec.
Le milliardaire demanda alors pourquoi son ordinateur portable possédait lui, une capacité aussi importante. Il suggéra donc s’il était envisageable d’appliquer le même fondement.
Le challenge s’annonçait rude et complexe. Mais au bout de plusieurs années de recherche et de test, le projet vit le jour. L’entrepreneur américain remporta un succès en s’inspirant d’une technologie déjà existante.
Bien évidemment, cet exemple résume à gros traits l’idée du benchmarking. En réalité, la Tesla représente un défi bien plus ambitieux que cela pourrait paraître.
Si l’on devait prolonger cette notion de recherche, en imitant et en empruntant ce qui est déjà en cours dans son environnement, la nature constituerait un exemple d’autant plus remarquable.
Tous les grands centres de recherche chargés d’innover en matière technologique, prennent modèle sur la nature. Ils ont bien recours au benchmarking, puisqu’il s’agit d’explorer et d’exploiter ce que le monde propose déjà.
Ainsi, des chercheurs du MIT et de l’université de Harvard s’intéressent aux capacités de camouflage de la seiche, depuis de nombreuses années. En s’en inspirant, cela permettrait de rendre plus performant les écrans.
Il est par ailleurs notable que cet animal puisse également donner des solutions dans le domaine médical. Une équipe de l’université de Bristol étudie ses facultés exceptionnelles d’élasticité.
Tout cela illustre à quel point le benchmarking ne se limite pas seulement au marketing, et au webmarketing. Il représente un moyen utile et prometteur à bien des égards.
Il fallait déjà cerner le sujet. Le benchmarking consiste à mener les recherches afin de se donner les leviers nécessaires à un développement, une éventuelle innovation.
L’affiliation doit donc se munir des outils pratiques dans le cadre d’un benchmarking efficace.
Rappelons brièvement les éléments essentiels de l’affiliation. On doit générer un revenu passif, grâce au trafic qu’apporte le site web.
Il faut au préalable exploiter les bons mots-clés et mener pour cela une petite étude de marché, dont le but sera de montrer la faisabilité du projet. Or, au cours des investigations, il sera de bon augure d’aller constater la présence de concurrents, et voir dans quelle mesure on pourra réaliser un meilleur contenu.
Il faudra notamment observer toute une série de données, liées à la présentation d’un produit que l’on souhaite promouvoir. On va également comparer les approches sur des aspects déjà présents. Ceci, afin de bien établir les points que l’on devra améliorer.
Quand on débute en affiliation, le benchmarking résidera tout simplement dans l’utilisation similaire des moyens mis en oeuvre par un concurrent.
Nous avons abordé ici une première démarche. Une autre concerne la recherche de popularité.
En effet, l’affiliation d’un site ne devient rentable qu’à la condition d’avoir un minimum de volume et un positionnement haut sur les pages de résultats du moteur de recherche (SERP).
Dans le cadre du benchmarking, on va regarder de plus près le taux de présence d’un concurrent sur la toile.
Créer des backlink artificiels est une méthode connue, pour susciter sa diffusion sur la toile et donc une partie de son EAT. En l’utilisant avec modération, cette démarche peut s’avérer payante.
Même s’il est recommandé d’employer d’autres leviers.
Des outils comme ahref permettent de prendre connaissance au moins partiellement de la nature des backlink du concurrent. Il suffira alors de prendre connaissance des chemins empruntés et d’éventuellement s’en inspirer pour créer un système aussi fiable.
Le benchmarking, c’est quoi en définitive ? c’est voir ce qui marche et l’utiliser à son avantage.
Le benchmarking en quelques points